Q : Pouvez-vous nous présenter le GEIQ BTP Hauts-de-France et son objectif ?

Laurent  Vanackre : Nous travaillons à la réinsertion professionnelle par la requalification dans le secteur du BTP. Nos adhérents, qui sont des entreprises du bâtiment, nous informent de leurs besoins en recrutement, et notre mission est de trouver et de former le candidat idéal, tout en prenant en charge ses éventuelles problématiques de logement ou autres questions sociales. Nous établissons un cahier des charges précis avec nos adhérents pour cibler au mieux la formation du candidat réinséré, grâce à nos centres de formation partenaires.

Q : Comment avez-vous connu la Fondation et qu’est-ce qui vous a incité à devenir membre ?

Laurent  Vanackre : Dans notre secteur, l’engagement social est fondamental, et c’est par ce biais que nous avons pris connaissance des différents acteurs, dont la Fondation. Je connaissais par ailleurs  Dominique Soyer, Président de la Fondation, depuis plusieurs années. La discussion sur un partenariat s’est faite naturellement.

Q : Quel sens donnez-vous à cet engagement auprès de la Fondation ?

Vanackre : Le GEIQ BTP HDF offre un large éventail de soutiens, allant du relogement à l’aide administrative, en passant par le soutien pour l’obtention du permis de conduire et même une prévoyance retraite en partenariat avec PRO BTP. Notre ADN est profondément social, et s’engager dans des actions sociales est pour nous une évidence.

Q : Quel impact ce mécénat a-t-il sur votre entreprise ?

Laurent  Vanackre : Nous souhaitons faire connaitre la Fondation à notre personnel et partager les opportunités qu’offre ce partenariat. L’objectif est de s’entraider, et non de rechercher une quelconque publicité.

Q : Quel est le plus beau résultat ou projet de la Fondation qui vous a touché ?

Laurent  Vanackre : Bien que récent dans les échanges avec la Fondation, j’ai été particulièrement touché par le projet de frigos solidaires. C’est un projet qui répond à un besoin fondamental et qui illustre parfaitement notre volonté commune d’aider les personnes à sortir de la précarité. Nous ne nous contentons pas de placer des candidats dans des entreprises, nous leur apprenons le monde du travail : comment se comporter dans ce milieu, apprendre l’indépendance en les relogeant, …

Je pense que le GEIQ BTP Hauts-de-France et la Fondation peuvent beaucoup s’apporter mutuellement et aller plus loin dans notre mission commune : aider les personnes en difficultés sociales.

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